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Les détraqués du temps

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Les détraqués du temps

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Titre : Les Détraqués du Temps




📅 Année : 2210


🪐 Genre : Science-fiction & Comédie


⚙️ Thème : Voyage temporel, paradoxes loufoques, futurs ratés


Résumé :

En 2210, l’humanité a enfin inventé la machine à voyager dans le temps… mais seulement pour une chose : corriger des bourdes historiques embarrassantes, comme l’invention des chaussettes-odeur-synthétique ou le scandale de la pizza au gravier.


Quand Timéo Drax, stagiaire à l’Agence Internationale du Temps (AIT), déclenche par accident un “effet papillon inversé”, il est projeté dans une série de voyages délirants à travers le temps : une Rome antique sponsorisée par des marques, un Moyen Âge futuriste avec Wi-Fi, et un 1990 dominé par les dauphins intelligents.


Avec Gwen, une IA sarcastique coincée dans sa montre connectée, Timéo doit rétablir l’ordre temporel avant que le présent ne devienne un mix entre un jeu vidéo buggué et une comédie musicale sans fin.

Super ! Voici le chapitre 1 de ton ebook de science-fiction comique, intitulé :





Les Détraqués du Temps




Chapitre 1 : Le Stagiaire qui appuya sur le bouton rouge


La Terre est devenue un endroit merveilleux — ou totalement absurde, selon le point de vue. On y trouve des taxis volants, des chats traducteurs, des machines à café qui prédisent l’avenir, et surtout… l’Agence Internationale du Temps, plus connue sous le nom de AIT.



C’est dans cette prestigieuse institution que travaille Timéo Drax. Enfin… “travaille” est un bien grand mot. Disons qu’il y fait un stage. Et qu’il n’a pas encore compris comment ouvrir une porte automatique sans se prendre un cadre métallique dans le nez.


Ce lundi matin, comme tous les autres, Timéo était arrivé en retard. Mais ce jour-là, il portait fièrement sa cravate à hologrammes Star Wars, pensant que ça suffirait à cacher son incompétence. Ce ne fut pas le cas.


« Drax ! Dans mon bureau ! » hurla la Directrice, Madame Kronos, une femme aux cheveux argentés, au regard capable de faire reculer une armée de robots tueurs.


Timéo entra, trébucha sur un câble, salua une plante en pensant que c’était un assistant, et s’installa en face du bureau.


« Vous allez me surveiller la Salle des Paradoxes. Et surtout, je dis bien surtout, vous ne touchez à rien. Compris ? »


Il comprit. Ou du moins, il fit semblant.




La Salle des Paradoxes était un sanctuaire rempli de boutons, de leviers, de cadrans lumineux, et d’un panneau rouge géant :


“NE JAMAIS APPUYER, MÊME POUR RIRE.”


Devinez ce que Timéo a fait cinq minutes plus tard ? Exactement.




BOUM.

Une lumière bleue jaillit du sol, les murs se mirent à fondre comme du fromage fondu, et une voix mécanique retentit :


« Activation de la boucle temporelle défaillante. Bonne chance, loser. »


Timéo regarda sa montre. Elle lui fit un clin d’œil. Littéralement.


« Bonjour Timéo. Je suis Gwen, votre IA de survie temporelle. Félicitations ! Vous venez de dérégler 4 823 années d’Histoire humaine. »


« Ah… euh… On peut annuler ? »


« Non. Mais on peut voyager dans le temps pour réparer votre débilité. »


« C’est rassurant. »




Un vortex s’ouvrit dans le sol. Timéo fut aspiré en hurlant comme un dauphin enrhumé. Direction : l’an 1472… ou peut-être l’année prochaine… ou un jeudi.


Il n’était pas sûr.






Chapitre 2 : Bienvenue en 1472… ou au Festival Médiéval du Futur



Quand Timéo rouvrit les yeux, il était allongé dans une flaque de boue. Il n’était pas seul. Un poulet en armure le fixait avec l’air méfiant d’un garde du corps moyenâgeux.


« …Qu’est-ce que… »

« Bienvenue en 1472 ! Ou en 3225. C’est un peu flou. Merci d’avoir cassé l’espace-temps », répondit Gwen, l’IA, avec l’élégance d’un GPS dépressif.


Timéo se releva en grimaçant. Autour de lui, un étrange mélange de chevaliers et de drones flottants. Des troubadours en tuniques colorées dansaient devant une scène de concert illuminée par des néons fluo. Un bouffon distribuait des flyers pour une “Soirée Médiéval-Techno”. Au loin, une catapulte lançait des burgers.


« Gwen, c’est quoi ce délire ?! »

« Apparemment, ton petit geste de stage a fusionné le Moyen Âge et le 23e siècle. On appelle ça une “chronofusion”. C’est rare. Et très moche. »


Une femme en armure chromée s’approcha de lui.


« Tu n’es pas d’ici, voyageur. Tu portes une cravate magique. Es-tu… un Oracle ? »

« Euh… Non, je suis stagiaire. »

« Un titre mystérieux. Tu dois être très puissant. »


Gwen gloussa dans son bracelet.




Quelques minutes plus tard, Timéo était assis dans une tente géante faite de peaux de synthèse et de panneaux solaires. La Dame en armure — Chevalière Alexa d’Amazonie, leader de la résistance contre le Grand Paradoxe — lui expliquait la situation.


« Depuis quelques lunes, le temps s’emmêle. Des dinosaures apparaissent dans les rues, Socrate vend du kebab, et les livres d’Histoire se corrigent tout seuls. »


« Ah oui. C’est sûrement ma faute. J’ai appuyé sur un bouton. »

« LE bouton rouge ?! »

« …Il était très rouge. Et très tentant. »

« Vous êtes bien l’Élu. »




Soudain, un cri déchira le ciel. Un dragon robotisé descendait en piqué, crachant des flammes et… des pubs holographiques.


« Gwen ! On fait quoi ? »

« Soit on fuit, soit tu montes sur ce dragon et tu deviens une légende. Ou une crêpe. À toi de voir. »


Timéo attrapa un vieux bouclier qui faisait aussi station météo, courut droit vers le dragon… et glissa sur une rave médiévale en cours.


« Je hais mon stage. »


Le temps n’était plus un fleuve tranquille. C’était une fontaine à chocolat en feu. Et Timéo allait devoir plonger dedans pour tout réparer.



Parfait ! Voici le Chapitre 3, qui conclut ce premier arc de ton ebook Les Détraqués du Temps.



Chapitre 3 : L’Ultime Bug Temporel


Timéo se réveilla au sommet d’un clocher en verre, chevauchant un dragon qui sentait le pétrole et le pop-corn. Autour de lui, le monde entier ressemblait à un patchwork de siècles mal cousus.


À sa gauche : une pyramide disco.

À sa droite : des vikings qui payaient en carte bancaire.

Derrière lui : une armée de clones de Napoléon qui dansaient la Macarena.


« Gwen… j’ai l’impression que le temps vient d’imploser comme un soufflé mal cuit. »

« Tu es bien plus observateur que je ne le pensais. Félicitations. Tu as officiellement transformé l’Histoire humaine en salade de paradoxes. »


« On peut réparer ? »

« Oui. Mais il faut retourner au moment précis où tu as appuyé sur le bouton rouge. En gros… redéclencher le bug pour le désactiver. Comme une mise à jour Windows. »


⏳ Retour à la case départ



Grâce à une faille temporelle ouverte par le souffle du dragon (ne pose pas de questions), Gwen réussit à projeter Timéo… pile 10 secondes avant sa propre bourde.


Il se vit lui-même dans la Salle des Paradoxes, en train d’approcher le doigt du gros bouton rouge.


« STOP ! » hurla-t-il à lui-même.

Son double se retourna.

« Qui es-tu ? »

« Je suis toi. Mais avec plus d’expérience. Et moins de dignité. »


« Et pourquoi je ne devrais pas appuyer ? »

« Parce que tu vas fusionner l’Histoire en une comédie absurde avec des kangourous présidents et des pizzas qui gouvernent l’Europe. »


« …Trop tard. »


Tic. Trop.

Toc. TROP.


CLICK.


💥 Boucle réparée (ou presque)



Le temps se plia sur lui-même. Un éclair violet traversa la Salle. Timéo rouvrit les yeux… assis dans un bureau, devant une pile de dossiers, avec une affichette :


“Bienvenue à l’AIT, nouveau stagiaire !”


« Gwen ? Tu es là ? »

« Présente. Et cette fois, pas de bouton rouge. »

« Promis. »


Il regarda autour de lui.


Une machine à café siffla. Un collègue passa en hoverboard.

Une plante verte lui fit un clin d’œil.

Et sur le mur… un tout nouveau bouton :


“NE PAS APPUYER – ÉDITION 2.0”


Timéo sourit.


« On verra ça demain. »


Fin du Chapitre 3 — et fin du premier tome !



🎉 Mais qui sait… le temps a toujours un moyen de se venger.




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